Le petit Léon

Air : La Mère Michèle

 

Le petit Léon, ça doit être emmerdant

A quinze ans, nom de Dieu ! d'être encore impuissant

Sa queue était si molle et ses deux couill's si drôles

Que son pèr'devint fou et sa mèr'presque folle

 

Sur l'air du tra la la la la (bis)

Sur l'air du tra-déri déra

Tralala

 

Son pèr'qui avait toujours bien su baiser

Lui dit : "Tu as des mains, c'est pour te masturber

Si la gauch'ne va pas, la droit'réussira

Et si ça rate encor', les deux tu emploieras"

 

Mais comme sa pin'ne donnait toujours rien,

Sa mère alla faire emplett'chez le pharmacien

D'excitantes pilul's et de drogues d'Hercule,

Mais sa pine restait pendante et ridicule

 

Le père fut obligé de commander

Trois jolies fill's tout's nues afin de l'exciter ;

Leurs petits seins tremblaient et leur croup'frémissait

Mais de sa triste queue, vraiment rien ne sortait

 

Près du village, vivait un vieux sorcier

Qui jura que le goss'finirait par bander

Il prit sur un vieux con, deux solides morpions

Qu'il mit entre les cuiss's et la pin'de Léon

 

Ces deux morpi-ons se mir'nt à s'balader

Si bien qu'avec ses mains, Léon dut s'employer

Et tant il se chatouille et tant il se gratouille

Que ses doigts d'impuissant excit'nt enfin ses couilles

 

Sa figur'd'eunuque exprima le désir,

Ses deux yeux bleus roulaient oomm'les yeux d'un satyre

Enfin Léon ressent le divin tremblement

Et de sa pine en feu, sort le jus succulent