Ce livre était entièrement imprimé, prêt à paraître avant la guerre, et je n’y change rien. La sanglante épopée dont les petits-fils de Colas Breugnon viennent d’être les héros et les victimes s’est chargée de prouver au monde que « Bonhomme vit encore ».
Et les peuples d’Europe glorieux et moulus, en se frottant les côtes, trouveront, je crois, quelque bon sens dans les réflexions que fait un « agneau de chez nous, entre le loup et le berger ».
R. R.
Novembre 1918.